Vendredi 26 janvier, Christelle, Valérie, Corinne, Nathalie et les sorcières étaient de la partie pour une soirée conte à l‘école maternelle Jean Macé de Sainte-Geneviève des bois. Deux séances se sont succédé. Nous avons été très bien accueillies par la directrice, Sylvie Roperch (une amie de Christelle) dans cette école où l’on sent un dynamisme pédagogique certain !  D’ailleurs, tous les enseignants étaient présents !

Inquiétude des sorcières quand elles apprennent quelques jours avant que c’est une grosse école et qu’il risque d’y avoir largement plus de 100 participants à chaque séance… Finalement, pour résoudre le problème, on propose de conter dans deux salles différentes et de faire tourner les conteurs entre les 2 salles.

Lors de la première séance, au moment de commencer,  il y avait très peu de public dans la 2ème salle. On décide donc de regrouper tout le monde dans la grande salle… C’était sans compter sur les retardataires qui sont arrivés en masse, au dernier moment. Du coup, les spectateurs étaient très nombreux et la contée ne fut pas des plus faciles, d’autant que cette séance regroupait les petites sections et quelques TPS.
Mais les conteuses ont bien poussé la voix (Hélène n’a pas eu à faire trop de moulinets au fond de la salle) et les spectateurs semblaient contents en sortant !

Pour la 2ème séance, nous avions convenu de maintenir, coûte que coûte les deux salles…. et là, c’était super !! Les conteuses ont vraiment pu se faire plaisir, le public était attentif et réactif, et les remerciements nombreux en fin de séance ! L’équipe enseignante était ravie également !

Bravo donc aux conteuses qui ont su s’adapter à la situation ! Et même si la première séance a été plus compliquée, cela n’a pas empêché une réelle bonne humeur… comme en témoignent les photos ! Ça vous permet d’ailleurs de voir ce que faisait une partie de l’équipe pendant que l’autre rangeait !!

En tout cas, cette expérience nous confirme qu’il est indispensable de limiter le public à 80 personnes, surtout dans une école maternelle en présence des parents (les enfants n’ont pas le même comportement avec leurs parents que sur le temps scolaire et, bien souvent, ceux-ci n’interviennent pas si leur enfant s’agite). Au delà, on perd la possibilité de moduler la voix et d’instaurer une connivence avec le public.

L’idéal étant même un public allant de 40 à 60 personnes.